La corrida dans les chiottes de l'histoire

Publié le par TAOMUGAIA

150x150

 

Lis bien ce qui suit; ça sort de la plume (le 31 mai, sur le site lepoint.fr) de Marine de Tilly, journaliste et critique littéraire qui pisse de joie quand elle assiste à une corrida et auteure d'une déclararation d'amour adressée sous la forme d'un bouquin qui n'a connu aucun succès :"Corridas. De sang et d’or".
Donc elle écrit :"Comme tous les plaidoyers pour des causes perdues (ou presque, hélas !), ce petit livre est un très beau chant d'amour, passionné et passionnant."
Je retiens, nous retenons bien volontiers, les termes "causes perdues". S'agissant de cette tradition conne et cruelle consistant à martyriser un taureau pour le fun, c'est une excellente chose.
Le propos de Marine de Tilly concernait, au passage, le petit livre (qui lui aussi est un bide complet) de Françis Wolff, philosophe porte-serviettes de la toromafia française, intitulé "
50 raisons de défendre la corrida".

Cause perdue.Tu mettras ce constat effectué par une passionnée de la corrida en perspective avec le compte-rendu du 4ème sommet international anticorrida qui s'est tenu il y  a peu à Barcelone.
Il est établi par nos amis du CRAC et notamment par Hélène Vaquier (salut Hélène): 
http://www.anticorrida.com/actualites/sommet-international-a-barcelone

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article